Titre : The Ocean at the End of the Lane
Auteur : Neil Gaiman
Pages : 178
Mon avis : 5/10
Pages : 178
Mon avis : 5/10
Je suis un peu restée
sur ma faim car l’intrigue est d’une simplicité déconcertante et l’histoire
très brève. J’ai même l’impression d’avoir mal compris l’essence du livre, d’avoir
raté quelque chose (en termes d’expérience de lecture). Alors que dans Coraline
ou L’Étrange Vie de Nobody Ownens, on vit
(j’allais écrire « réellement », mais non…) intensément l’action avec le personnage principal.
Pour ces raisons, je
ne le présenterais pas comme le livre idéal pour découvrir Neil Gaiman. Cela
n’empêche pas une certaine consistance grâce à des thèmes que l’on retrouve
dans Coraline par exemple : la famille, la trahison, la peur, la femme
malfaisante, ainsi qu’un personnage principal toujours aussi attachant et
duquel se dégage une certaine « pureté ». J’avais eu le même
sentiment avec Coraline et Nobody Owens. Ce sont des enfants introvertis mais
très intelligents, et qui se sont tous heurtés plus ou moins violemment au mur qui
sépare leur monde de celui des adultes.
D’où cette impression de pureté, car ils ne sont pas encore polis par les convenances et le
pragmatisme adulte. C'est aussi cela qui fait de Neil Gaiman un très bon auteur.
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