Titre : Le Comte de Monte-Cristo
Auteur : Alexandre Dumas
Pages : 1000+
Auteur : Alexandre Dumas
Pages : 1000+
Mon avis : 4/5
Edmon Dantès, jeune marin fiancé à la belle Mercédès est victime d'un complot par ses rivaux et injustement jeté en prison. L'histoire commence réellement après l'évasion de Dantès, devenu alors le mystérieux Comte de Monte-Cristo.
Je m'attendais à un long pavé indigeste mais il n'en est rien. Le récit est vivant, avec une galerie de personnages, des complots, et suffisamment de dialogues. Ce même récit est très marqué par le contexte politique de l'époque de l'auteur (Bonapartisme vs Royalisme) dans le Paris de la haute société du XIXème siècle.
La machination du Comte se met en place et le plus plaisant c'est de voir la façon dont il place les pions et tire les ficelles pour que ses ennemis se retrouvent pris au piège et se condamnent eux-mêmes (suicide, folie, exil). C'est là où est toute la force du livre.
La lumière joue également un rôle important dans l'histoire et apporte des finitions théâtrales à certaines scènes, comme dans ce passage qui est probablement mon préféré:
Ce roman est idéal pour découvrir le style de l'auteur et m'a vraiment donné envie de lire Les Trois Mousquetaires !
Edmon Dantès, jeune marin fiancé à la belle Mercédès est victime d'un complot par ses rivaux et injustement jeté en prison. L'histoire commence réellement après l'évasion de Dantès, devenu alors le mystérieux Comte de Monte-Cristo.
Je m'attendais à un long pavé indigeste mais il n'en est rien. Le récit est vivant, avec une galerie de personnages, des complots, et suffisamment de dialogues. Ce même récit est très marqué par le contexte politique de l'époque de l'auteur (Bonapartisme vs Royalisme) dans le Paris de la haute société du XIXème siècle.
La machination du Comte se met en place et le plus plaisant c'est de voir la façon dont il place les pions et tire les ficelles pour que ses ennemis se retrouvent pris au piège et se condamnent eux-mêmes (suicide, folie, exil). C'est là où est toute la force du livre.
La lumière joue également un rôle important dans l'histoire et apporte des finitions théâtrales à certaines scènes, comme dans ce passage qui est probablement mon préféré:
« – Ce Noirtier, pauvre aveugle que vous êtes, savez-vous ce que c’était que ce Noirtier ? Ce Noirtier, c’était son père ! »
La foudre, tombée aux pieds de Dantès et lui creusant un abîme au fond duquel s’ouvrait l’enfer, lui eût produit un effet moins prompt, moins électrique, moins écrasant, que ces paroles inattendues ; il se leva, saisissant sa tête à deux mains comme pour l’empêcher d’éclater.
« Son père ! son père ! s’écria-t-il.
– Oui, son père, qui s’appelle Noirtier de Villefort », reprit l’abbé.
Alors une lumière fulgurante traversa le cerveau du prisonnier, tout ce qui lui était demeuré obscur fut à l’instant même éclairé d’un jour éclatant.
Ce roman est idéal pour découvrir le style de l'auteur et m'a vraiment donné envie de lire Les Trois Mousquetaires !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire