Titre : Bird Box
Auteur : Josh Malerman
Pages : 384
Auteur : Josh Malerman
Pages : 384
Mon avis : 3/5
Voilà un synopsis de fin du monde comme on les aime : dans un monde où tous ceux qui ont ouvert les yeux se sont donné la mort apparemment après avoir vu des "créatures", Malorie et ses deux enfants entreprennent un voyage sur la rivière dans le but de rejoindre une communauté de survivants.
La construction du livre fait que c'est assez rythmé malgré le fait qu'il ne se passe pas grand chose dans l'ensemble. On alterne un chapitre sur le périple de Malorie avec un autre de type "flash-back" qui raconte ce qui se passait avant.
Du coup, une grande partie de l'histoire est racontée à travers les yeux... ou plutôt à travers le bandeau qui est sur les yeux des personnages lorsqu'ils sortent. Il y a certains passages vraiment anxiogène où la scène se matérialise à travers les autres sens (l'odorat, le toucher, l'ouïe). J'ai trouvé cela vraiment très habile et inédit !
L'image des femmes dans ce roman est assez réductrice : si pas enceintes, elles n'ont pas de rôle actif dans l'histoire. Souvent relayées au second plan, elles font à manger ou du rangement. Ce sont les hommes qui partent en expédition et prennent des initiatives.
Même Malorie, qu'on essaye de nous vendre comme une femme battante et courageuse parce qu'elle part en barque avec ses enfants et leurs yeux bandés, est assez froide et n'évolue pas vraiment au cours de l'histoire.
Voilà un synopsis de fin du monde comme on les aime : dans un monde où tous ceux qui ont ouvert les yeux se sont donné la mort apparemment après avoir vu des "créatures", Malorie et ses deux enfants entreprennent un voyage sur la rivière dans le but de rejoindre une communauté de survivants.
La construction du livre fait que c'est assez rythmé malgré le fait qu'il ne se passe pas grand chose dans l'ensemble. On alterne un chapitre sur le périple de Malorie avec un autre de type "flash-back" qui raconte ce qui se passait avant.
Du coup, une grande partie de l'histoire est racontée à travers les yeux... ou plutôt à travers le bandeau qui est sur les yeux des personnages lorsqu'ils sortent. Il y a certains passages vraiment anxiogène où la scène se matérialise à travers les autres sens (l'odorat, le toucher, l'ouïe). J'ai trouvé cela vraiment très habile et inédit !
L'image des femmes dans ce roman est assez réductrice : si pas enceintes, elles n'ont pas de rôle actif dans l'histoire. Souvent relayées au second plan, elles font à manger ou du rangement. Ce sont les hommes qui partent en expédition et prennent des initiatives.
Même Malorie, qu'on essaye de nous vendre comme une femme battante et courageuse parce qu'elle part en barque avec ses enfants et leurs yeux bandés, est assez froide et n'évolue pas vraiment au cours de l'histoire.
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